Lettre de l’Epargne et de l’Actionnariat Salariés #3/2023 : résultats T3 2023, nouveau fonds monétaire dans le PEG, évolutions du PEG, acompte sur dividende, réforme des retraites et PER COL

par Hélène Marcy le 10/11/2023

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Résultats du T3 2023 : Trimestre après trimestre le plan « Lead to the future » est un échec !

par Sébastien Crozier le 26/10/2023

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L’absence de projet industriel et de relais de croissance sont à l’origine d’un recul impressionnant de l’entreprise Orange, qui se confirme trimestre après trimestre.

Chaque jour, orange devient de plus en plus, un opérateur de second rang.

La croissance du T3 2023 n’est que de 1,8% soit largement en dessous de l’inflation. En euros constants c’est une nouvelle baisse significative du chiffre d’affaires de l’entreprise. Même en euros constants, l’Ebitda(al) est en baisse, c’est dire, si le déclin est d’importance.

En France, Orange ne cesse de perdre des parts de marché même en face, à un SFR en fort mauvaise posture.

Il est cuisant de constater que le chiffre d’affaires de La Poste dans les services informatiques dépassera dans les prochains mois celui d’Orange Business (déjà 770 millions contre 880 en 2022) démontrant si besoin était, l’échec d’Orange Business et de la soi-disant transformation qui ne vise qu’à délocaliser de l’emploi (via un plan social de près de 700 personnes) sur les marchés de la connectivité au mépris de la souveraineté nationale.

Augmenter le cash-flow et les dividendes en baissant les investissements ne constituent pas un plan stratégique.

La remontée des tensions sociales et l’inquiétude du personnel illustrent bien l’absence d’un projet d’avenir.

La politique de dividendes élevés assèche la capacité d’Orange à procéder à des acquisitions externes lui permettant de valoriser ses actifs : une marque, des clients dans le monde entier, des expertises rares pour exploiter des services 24h/24 et 7j/7, etc.

La CFE-CGC Orange et l’ADEAS demandent un changement de direction pour enrayer la spirale du déclin. »

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Lettre de l’Epargne et de l’Actionnariat Salariés #2/2023 : intéressement Orange SA et filiales, résultats 1er semestre 2023

par Hélène Marcy le 02/10/2023

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AG des actionnaires 2023 : Pas assez de nouveau sous le soleil

par Hélène Marcy le 02/10/2023

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Hélène Marcy & Stéphane Gouriou

L’Assemblée générale (AG) des actionnaires statue sur les décisions financières (approbation des comptes, affectation du résultat – dont le dividende -, autorisations d’émissions de titres…) et de gouvernance (nomination des administrateurs, rétribution des dirigeants…). Les personnels y détiennent actuellement 11,55 % des droits de vote, soit environ 15% des suffrages exprimés en AG.

Le Conseil de surveillance du fonds Orange Actions (CS OA) vote au nom de tous les personnels français détenant leurs actions Orange dans le Plan Épargne Groupe (PEG).

La CFE-CGC Orange, bien qu’aillant recueilli l’approbation du plus grand nombre d’électeurs, n’y est cependant pas majoritaire. C’est notamment pourquoi depuis 2020 le CS OA ne propose plus de dividende alternatif : la CFDT s’y oppose chaque année, sans expliquer sa position, et se contente de voter contre le dividende proposé par le Conseil d’administration. La CFE-CGC Orange ne s’oppose pas à la distribution de tout dividende, mais demande qu’il ne siphonne pas tout le résultat net – comme c’est actuellement le cas – afin de conserver la capacité d’investir dans le développement du Groupe, y/c en faisant de la croissance externe.

Notons que si le CS OA a voté contre la structure de rémunération des dirigeants proposée pour 2023, il a cependant voté pour la rémunération qui leur a été versée en 2022 – qui a explosé par rapport à la rétribution du précédent PDG – sur une structuration équivalente, en raison des votes positifs de la CFDT et de l’AASGO.

Le Conseil de surveillance Orange Actions est seul à proposer des résolutions alternatives chez Orange. Cette année encore, Les Échos / Investir ont recommandé de voter en faveur des résolutions C et D. Si ces recommandations ne sont pas suivies par la majorité des investisseurs, le pourcentage de votes positifs recueilli par les résolutions du CS OA progresse chaque année. Et dès qu’une résolution externe dépasse 20% des suffrages, elle commence à être prise en considération par le Conseil d’administration (de la même manière que tout vote inférieur à 80% est considéré comme une marque de défiance de la part des investisseurs) : il faut donc persévérer. La CFE-CGC Orange et l’ADEAS, initiatrices de la démarche en 2012, continueront d’y consacrer leurs meilleurs efforts.

Recherche croissance désespérément…

par Hélène Marcy le 02/10/2023

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par Hélène Marcy & Sébastien Crozier


Les résultats du S1 présentés le 26 juillet dernier sont « en ligne avec les objectifs financiers 2023 », la Direction souhaitant prioritairement augmenter le cash-flow organique. Mais ni cette annonce, ni la promesse d’un dividende augmenté à 0.72 € (au lieu de 0.70 € / action) pour l’an prochain n’ont endigué la baisse tendancielle du cours de l’action Orange débutée après la publication des résultats du T1 fin avril.

La France à la peine

Le recul de l’EBITDAal en France (-5,1% au S1, le CA reculant de 1,5%) inquiète. La Direction répond que le plein effet des hausses tarifaires se verra au S2, tandis que les impacts des coûts énergétiques et de l’effet ciseaux sur la vente en gros des accès Fibre (fin du modèle où tous les opérateurs nous payaient pour accéder à notre réseau cuivre : nous engrangeons aujourd’hui moins de revenus, et devons payer pour accéder aux réseaux Fibre des autres acteurs) seront moindres en deuxième partie d’année. Elle souligne également la baisse des coûts : baisse des investissements (CAPEX), et des effectifs, qui, selon Christelle Heydemann, ont déjà diminué de 6% depuis début 2023 (notamment avec 7 600 départs en TPS), tandis que plus de 600 départs sont prévus à SCE (Orange Business) dans le cadre d’un Plan de Départs Volontaires (PDV)… sans parler de ceux induits par les réorganisations en cours ou à venir.

Mais la dégradation de nos performances commerciales est soigneusement glissée sous le tapis :

  • Au premier semestre, nous perdons 55 000 clients sur le haut débit fixe : nous ne transformons pas tous nos anciens clients ADSL en clients Fibre ;
  • Sur le mobile grand public, nous sommes largement dépassés par Bouygues Télécom, qui signe 109 000 nouveaux contrats au S1, versus 32 000 pour Orange.

Fermetures de boutiques et/ou transferts à la Générale de Téléphone déstabilisent nos vendeurs et nos clients. La sous-traitance, toujours plus prégnante et mal gérée, continue d’engendrer des retards de production, insoutenables sur la Fibre. Sur Paris, la qualité de notre réseau mobile n’est pas à la hauteur. Tout cela ressemble malheureusement à une politique de réduction des coûts mal maîtrisée : l’efficacité opérationnelle n’est entendue que sur le plan financier, faisant l’impasse sur la qualité de production et de commercialisation de nos offres, pourtant essentielle lorsqu’on revendique un positionnement « premium ».

Résultats contrastés pour Orange Business

Si la croissance se poursuit côté Cyberdéfense, avec un CA qui augmente de +11% par rapport au S1 2022, la connectivité est en baisse, et la transformation vers les services ne s’opère pas, faute de pilotes compétents.

Croissance à l’international

L‘essentiel de la croissance est porté par l’Afrique Moyen-Orient. Le CA y progresse de 10%, l’EBITDAal de 12%, et toutes nos ventes de services sont en croissance à 2 chiffres. Pour Orange Money, les difficultés occasionnées par le concurrent Wave en 2021 et 2022 semblent derrière nous : le CA augmente de 25%. Et Orange Bank Afrique poursuivra ses activités. Cette zone géographique représente plus de 30% du CA et 20% de l’EBITDAal du Groupe au S1 2023. Son poids devient déterminant dans le Groupe.

En Espagne, après trois ans de recul du CA, le retour à la croissance amorcé au T3 2022 se confirme en 2023, avec une progression de 2,5% sur le semestre et +11% pour l’EBITDAal. La Commission européenne maintient le suspense concernant le rapprochement avec MásMóvil : déjà en phase d’enquête approfondie, la Commission a appuyé sur « pause » fin juillet, pour prendre le temps d’étudier en détail les concessions proposées par les deux opérateurs pour faire accepter l’opération. La réponse de la Commission, initialement prévue début septembre, est repoussée sine die.

Dans le reste de l’Europe, la croissance du CA est de 3,3%, celle de l’EBITDAal de 7,1%.

Responsabilité sociale d’entreprise

Notons pour finir la baisse de nos émissions carbone sur les scopes 1 & 2, où les objectifs de 2025 (-36% / nos émissions de 2015) sont atteints, les énergies renouvelables représentant désormais 41% de notre mix énergétique. Reste à embarquer le scope 3, qui représente 80% de nos émissions, incluant les terminaux et usages de nos clients, mais aussi les trajets domicile / travail des personnels.

Investissez-vous, vous êtes intéressés !

par Hélène Marcy le 24/09/2023

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par Nicolas Triki & Hélène Marcy

Comme le démontrent les dernières études publiées par le Conseil d’analyses économiques, l’intéressement se substitue en partie aux salaires. Au sein du Groupe Orange, les augmentations salariales ne compensent plus l’inflation. Il est donc nécessaire de négocier un intéressement permettant de maintenir peu ou prou le pouvoir d’achat des personnels.

Les accords sont de plus en plus focalisés sur les objectifs financiers et le « Net Promoteur Score » (indicateur contesté de satisfaction clients), parfois complétés d’un indicateur RSE.

Orange SA : avenant à l’accord triennal.
Objectifs en hausse, intéressement en baisse !

Dans le cadre de l’accord d’intéressement triennal 2021-2023, l’avenant  signé fin juin fixe les objectifs à atteindre en 2023 pour déclencher l’intéressement versé en 2024. Il a été validé par les organisations syndicales signataires de l’accord initial, que la CFE-CGC Orange n’avait pas signé, considérant à juste titre qu’il serait facteur de baisse de l’intéressement.

En 2023, l’intéressement supplémentaire que nous avons été les seuls à demander au Conseil d’administration a été refusé, au motif que les objectifs avaient été dépassés et que la participation était en hausse par rapport à l’an dernier ! Mais l’augmentation de la charge de travail et des contraintes qui pèsent sur les personnels alors que les effectifs sont en baisse constante, sont loin d’être récompensés par une amélioration de l’intéressement. Compte-tenu de l’inflation, la prime d’intéressement versée en 2023 a un pouvoir d’achat inférieur à celle de 2021.

Notons que les objectifs à atteindre en 2023 sont en hausse, en dépit d’un contexte toujours difficile. La non-signature de la CFE-CGC Orange, qui demande en priorité une amélioration de l’enveloppe globale d’intéressement, exprime son opposition à la politique sociale actuelle.

Évolution des versements de l’intéressement

Évolution des objectifs à atteindre pour le calcul de l’intéressement

Totem France : 1er accord d’intéressement

La filiale Totem France a été mise en place en novembre 2021, pour gérer et déployer les sites d’accueil des antennes mobiles possédés par le Groupe Orange, afin notamment d’en accroître la commercialisation auprès d’autres opérateurs mobiles. Cette filiale, détenue à 100% par Orange, intègrera l’UES Orange à l’occasion des élections CSE de

novembre 2023. Elle est couverte par l’accord de participation du Groupe. Un accord d’intéressement est mis en place sur l’année 2023, pour versement d’un intéressement en 2024. Une complexité inutile : Totem France aurait pu être directement rattaché à l’accord de l’UES Orange.

L’intéressement sera versé si les objectifs définis pour les différents indicateurs sont atteints ou dépassés.

Le taux de versement varie de 0 (si le seuil 1 n’est pas atteint) à 5,2% (si tous les objectifs sont dépassés) en fonction du niveau d’atteinte des objectifs :

Si l’intéressement versé atteint 4,7% de la masse salariale (il faut donc dépasser les objectifs annuels), le bonus de surperformance est déclenché. Il est lié à la mise à disposition de nouveaux sites, et varie de 0% pour objectif atteint (530 nouveaux sites) à 2% (580 sites). L’intéressement maximal peut ainsi atteindre 7,2% de la masse salariale. Les représentants CFE-CGC de Totem France soulignent cependant que cette surperformance sera difficile à atteindre.

La masse d’intéressement ainsi constituée est répartie au prorata du salaire (pour 70%) et du temps de présence sur l’année (pour 30%).

Orange Concessions :
1er accord de participation et d’intéressement

Orange Concessions est une joint-venture détenue à 50% par Orange, et à 50% par un consortium d’investisseurs (Banque des Territoires, EDF Invest, CNP Assurances). Hors du Groupe, elle fait donc l’objet d’accords séparés en ce qui concerne la participation et l’intéressement.

Intéressement

L’accord est conclu pour 3 ans (2023-2025). Le versement d’un intéressement est soumis à l’atteinte d’objectifs en année n, pour un versement en année n+1.

Le taux de versement varie de 0 à 5,2% de la masse salariale, selon le niveau d’atteinte des objectifs :

L’intéressement est ensuite réparti proportionnellement au salaire (30%), au temps de présence pendant l’exercice (50%), et à la durée d’appartenance – temps pendant lequel on dispose d’un contrat de travail avec l’entreprise (20%).

Intéressement et participation peuvent être touchés en cash (soumis à l’impôt sur le revenu) ou versés dans les plans d’épargne salariale du Groupe Orange (PEG bloqué 5 ans, PERCOL bloqué jusqu’à la retraite).

Participation

L’accord est conclu pour l’année 2023, pour versement d’une participation en 2024. La formule de calcul prévoit de distribuer 1,125% du résultat d’exploitation (versus 4% en maison mère), réparti entre les salariés à 80% selon le salaire, et 20% selon le temps de présence dans l’entreprise pendant l’exercice considéré.

Sofrecom : nouvel accord triennal

L’intéressement est défini selon deux types d’indicateurs distincts : la satisfaction clients et la performance économique, décomposée en 3 indicateurs.

Il faut atteindre au moins 80% de l’objectif pour déclencher l’intéressement, qui peut aller jusqu’à 5% de la masse salariale si les objectifs sont dépassés (à 125% pour le NPS, à 130% pour les indicateurs de performance économique). L’intéressement est ensuite réparti à 50% selon le salaire, et à 50% selon la durée de présence sur l’année.

Lettre de l’Epargne et de l’Actionnariat Salariés #hors série été 2023 : FCPE de reprise La Redoute : dans les coulisses de la « belle histoire »

par Hélène Marcy le 03/08/2023

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En février dernier, la presse a abondamment relaté le « jackpot » (environ 100 millions d’euros) que se sont partagés un millier de salariés de La Redoute dans le cadre d’un FCPE de reprise. Pour en savoir plus, nous avons contacté Jean-Jacques Deleu, délégué syndical central CFE-CGC de La Redoute, qui nous a éclairés sur sa mise en œuvre.

Lire l’article : FCPE de reprise La Redoute : dans les coulisses de la « belle histoire »

Que faut-il attendre des mécanismes de partage de la valeur ?

par Hélène Marcy le 28/07/2023

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Image Tumisu via Pixabay

Le Conseil d’analyse économique (CAE – groupe de réflexion pluraliste qui conseille le Premier Ministre et appartient au réseau France Stratégie) vient de sortir une note sur les mécanismes de partage de la valeur en entreprise, dans le cadre notamment de la transposition dans la Loi du récent Accord National Interprofessionnel relatif au partage de la valeur dans les entreprises.

Cette évolution législative n’ouvrira pas de nouveaux droits pour les personnels du Groupe Orange, l’objectif étant d’étendre les dispositifs d’intéressement, participation et prime de partage de la valeur dans les entreprises de moins de 50 salariés.

Le CAE s’est cependant attaché à étudier les effets de ces dispositifs. Les résultats obtenus rejoignent les intuitions et les constats que font la CFE-CGC Orange et l’ADEAS depuis plusieurs années, en particulier sur ce point, extrait du document :

Nos analyses empiriques montrent que la participation obligatoire ne se substitue pas aux salaires, qu’elle ne réduit pas l’investissement, mais qu’elle n’améliore pas non plus la productivité des entreprises. En revanche, la plupart des autres mécanismes de partage de la valeur (intéressement, PPV) semblent conduire à d’importants effets de substitution.

L’assouplissement des règles de mise en œuvre des dispositifs de partage de la valeur, qui dans les textes privilégient la négociation dans l’entreprise, dans les faits renforcent le pouvoir des employeurs et la variabilité de la rétribution des salariés (alors qu’il est quasiment impossible de revenir en arrière sur une augmentation du salaire fixe).

À retrouver sur le site du Conseil d’analyse économique :

Activisme actionnarial : quand les actionnaires salariés s’en mêlent

par Hélène Marcy le 24/07/2023

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Image Gerd Altmann via Pixabay

La Revue Française de Gouvernance d’Entreprise, initialement éditée par l’IFA (Institut Français des Administrateurs), est désormais publiée par l’EM Normandie. Son numéro de 2022, récemment paru, est consacré à l’activisme actionnarial.

Son comité de lecture y a retenu l’article corédigé par Hélène Marcy et Christophe Gauthier, qui fait le bilan de 15 ans d’actions menées par la CFE-CGC et l’ADEAS en faveur de l’actionnariat salariés chez Orange. L’article est à retrouver page 91 et suivantes.

Améliorer l’engagement RSE des entreprises via l’épargne et l’actionnariat salariés

par Hélène Marcy le 10/07/2023

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Chaque année, le jour de l’AG des actionnaires d’Orange, l’ADEAS organise un déjeuner-conférence avec des invités externes, pour faire le point sur un sujet en lien avec l’épargne et l’actionnariat salariés.

Cette année, nous avons accueilli :

pour parler d’investissement responsable et durable.

Dans cette vidéo, vous trouverez des éléments de réponse aux questions suivantes : 

  • En quoi l’épargne et les placements financiers sont-ils clefs pour activer la transition environnementale ?
  • Comment susciter des politiques d’investissement plus transparentes et vertueuses sur les plans sociaux et environnementaux dans l’épargne salariale ?
  • Les actionnaires salariés peuvent-ils influencer la politique sociale et environnementale de leur propre entreprise ?

L’ADEAS et la CFE-CGC Orange s’engagent à faire en sorte que ces différents leviers soient actionnés, de sorte que l’épargne et l’actionnariat salariés chez Orange puissent mieux répondre à vos attentes sur ce plan.

À suivre donc…

Envie de participer à ce déjeuner l’an prochain ? Adhérez à l’ADEAS et vous recevrez l’invitation.