L’affaire de la rémunération de Carlos Ghosn, le PDG de Renault-Nissan, jette un doute sérieux sur l’intérêt et le rôle réel des politiques de « say on pay » qui impliquent un vote des actionnaires sur la rémunération des dirigeants, expliquent les spécialistes en management Xavier Hollandts et Bertrand Valiorgue.
Une réflexion intéressante qui mentionne les travaux de Blanche Segrestin, qui mériteraient en effet qu’on se penche sur la révision de la gouvernance des entreprises pour y intégrer l’intérêt collectif de toutes les parties prenantes.